De la bombe bébé !

Qui dit premiers soleils dit immanquablement – du moins en ce qui me concerne !- cuissots d’albâtre.  Lesquels ne sont pas toujours, pour ne pas dire jamais, du meilleur effet pour accompagner la robette printanière.

Longtemps, j’ai péniblement cherché à camoufler en autobronzant. Las ! Le résultat était plus proche de la zébrure hasardeuse que du joli hâle naturel, et ce malgré les trésors de concentration que je déployais pour mener à bien cette mission. De l’extrême, s’entend. Et je ne parle pas de la couleur obtenue, plus proche du canard laqué qu’autre chose. A ce stade, je vous avoue que je voue une admiration certaine à celles qui s’autobronzent sans se rater et même qu’on dirait qu’elles reviennent d’une semaine aux Baléares. Pfff.

Malgré tout, je n’ai pas perdu la Foi. Et je tente coûte que coûte d’avoir le cuissot au moins vaguement moins pâlichon. Et là, bim, le miracle : Terracota Jambes de Gazelle de Guerlain.

Alors, c’est bien simple : on pschitt entre ses mains (sinon, on s’en fout partout) (mais rassurez-vous, le produit part très bien au lavage. Oui, même sur de la soie. Oui, même sur du blanc) (no comment). On frotte ses mains pour fluidifier le produit et on l’applique consciencieusement sur les jambes. On peut revenir à la charge deux, trois fois max, afin d’obtenir le hâle désiré. C’est ultra simple (vous pouvez me croire… !) et surtout, ultra bluffant de naturel. Ça part au premier lavage avec du savon. Et non, ça ne tâche pas, même si on transpire, même s’il fait chaud, même si un osthrogoth vous éclabousse à coup de champagne (no comment bis, cela s’entend).

Seul nuage à l’horizon, le prix : 50€ le miracle. Cela étant, je pense que le flacon contient assez de produit pour hâler mes gambettes a volo jusqu’à bien après les vacances… Aucun regret, donc !