Petite tricheuse !

C’est à dire que lorsque l’on vit à Paris et que l’on cherche à être vaguement moins blanche pour dégainer easy les p’tites robes et autres tenues d’été, on se rend vite compte que la tâche est ardue. Bronzer à Paris ? Bien-sûr, c’est possible… Mais enfin, quand on travaille pendant les heures d’ensoleillement et que la teinte de départ est le blanc fluo… On opte assez rapidement pour des solutions annexes.

En l’occurrence, je ne jure que par deux produits.

D’abord, l’autobronzant Dior Bronze. Acheté avec mes petits sous l’année dernière après qu’une conseillère me l’ait chaleureusement vanté, je n’ai pas regretté cet investissement (c’en est un !) : il est parfaitement IM-POS-SIBLE de se rater avec la formule du produit, une huile satinée qui glisse toute seule sur la peau, qui ne sèche pas tout de suite – parfait pour appliquer consciencieusement l’autobronzant partout comme il faut -, qui n’exhale pas cette odeur si caractéristique et si désagréable de l’autobronzant. En quelques heures, c’est gagné : la peau est hâlée, un peu, juste ce qu’il faut, sans l’ombre d’une méchante trace.

Pour répondre à vos questions, oui, j’applique de l’autobronzant uniquement sur les jambes, je suis incapable d’aller plus loin sans faire de traces. Et pour éviter les traces, astuce ! : je passe un coton sur les genoux et les chevilles, en prévention. Et voilà.

Et puis, quand j’ai envie d’être encore plus hâlée, genre je reviens d’Ibiza chérie, j’applique, toujours sur les jambes, Jambes Divines de Caudalie, offert par la marque il y a quelques semaines. Il s’agit d’un fluide teinté qui ne contient pas d’autobronzant mais qui habille les jambes d’un joli hâle doré. Mieux, il active le bronzage naturel, histoire de joindre l’utile à l’agréable. On l’applique sur jambes sèches en déposant une petite quantité de produit, on attend quelques secondes que ça sèche eh hop, roule ma poule !

Voilà, c’est tout pour aujourd’hui. Bisous !