La photo a été prise ce dimanche aux Tuileries, qui regorge décidément de jolies choses ? prendre en photo !
J’aime plus que tout le contraste entre cet épouvantail, atterri l? on ne sait trop comment, et une des ailes du Louvre que l’on aperçoit au loin. J’aime également la surprise qui émane de cette photo : on a l’impression d’être partout, sauf dans un parc en plein cœur de Paris ! A plus forte raison dans les Jardins des Tuileries qui sont très soignés et encadrés : statues policées, bassins proprets et pelouses au carré sur lesquelles il est interdit de s’allonger (un des aspects de la plupart des parcs parisiens qui m’énerve au plus haut point ! Quel est l’intérêt de faire pousser de belles pelouses si on ne peut pas se vautrer dessus les beaux jours venus ? Certes, me direz-vous, qui dit vautrage dit pelouse abimée. D’accord. N’empêche, on pourrait les interdire les trois quarts de l’année et les autoriser quelque chose comme d’avril ? septembre, non ?).
Bref, on ne soupçonne pas qu’un tel potager bucolique et haut en couleurs se situe au beau milieu des Tuileries. Ça me donne envie de retourner m’y vautrer tiens ! Mais non, pas dans le potager, sur la pelouse. Oui, farpaitement : j’ai trouvé un micro coin de verdure où j’ai eu le droit de poser mon séant, n’en déplaise aux gardiens qui sillonnent les allées du jardin ? bicyclette !
Post Scriptum : mais naaan, je ne me la raconte pas avec mon titre en anglais, laissez-moi vous expliquer. Nous étions en fait aux Tuileries avec une amie allemande, venue passer quelques jours ? Paris. Comme l’allemand et nous, nous ne sommes pas exactement les meilleurs amis du monde (malgré mes 9 années d’étude de cette langue.. En dehors de « Ich Heisse Delphine » et « Ich wohne in Paris », je ne sais absolument rien dire. Oui, c’est complètement pathétique, vous avez le droit de le dire !), nous parlons anglais avec cette amie. Voyez où je veux en venir ? Voil? , en anglais, épouvantail se dit « scarecrow ». Comme ça, vous pourrez crâner la prochaine fois que vous dînerez chez Georgette-qui-se-la-pête 🙂