Ah la la mes amis, j’espère pouvoir continuer cette semaine ? alimenter mon blog mais rien n’est moins sûr : j’ai vraiment un emploi du temps de malade mental cette semaine ainsi que celle ? venir !! C’est bien simple : je cours, je cours, je cours et puis aussi, je cours. J’arrive ? caser 5h-6h de sommeil par nuit, moi qui suis une vraie marmotte et qui ai besoin au bas mot de 8h par nuit. Bref, ma vie est définitivement truculente, pour ceux qui en doutaient (je renvoie lesdits persifleurs ? la définition de l’excellent dictionnaire en ligne de TV5, ma bible depuis quelques années !)
Oui oui, le titre a néanmoins quelque chose ? voir avec ce dont je souhaitais vous parler aujourd’hui : La femme de hasard de Jonathan Coe. Et je dois dire qu’une fois n’est pas coutume, ce livre me laisse perplexe, et que j’ai bien du mal ? adopter un avis un tant soit peu tranché !
Ce que dit la 4ème de couv : Maria, une jeune fille de milieu modeste, vit aux environs de Birmingham. Indifférente par choix, indécise par nature, elle trouve que l’on fait beaucoup de bruit pour peu de chose. Que valent les succès aux examens et les déclarations de Ronny qui l’aime désespérément, que penser des amis de classe avec leurs vacheries et leurs cancans… Seul le chat, un exemple d’indifférence satisfaite, lui donne ? penser qu’une forme de bonheur est possible. Mais comment être heureux lorsque votre vie est une succession d’accidents, de hasards… Premier roman de Jonathan Coe, La Femme de hasard décrit une sinistre histoire, celle de Maria et ses désillusions. Toujours soucieux de lucidité et de démystification, Jonathan Coe se livre ? une descente en flammes de toutes les institutions prisées dans la société et des formes couramment admises de bonheur, et fait de ce premier roman une œuvre exemplaire.
J’ai aimé : la manière dont l’auteur s’est immiscé dans sa propre narration, absolument délectable car drôle et subtilement orchestré. J’avais presque l’impression de lire un blog, tiens 🙂 Le style est quant ? lui précis et savamment orchestré, ce qui sauve ce livre d’un ennui assez palpable…
J’ai moins aimé : l’histoire, que je trouve somme toute assez plate, donc. Je me suis accrochée au récit, persuadée qu’il allait finir par décoller, ce qu’il fit… Mais un peu trop ponctuellement ? mon goût. Je crois bien que l’indécision et l’indifférence de Maria ont eu raison de moi. Pour être tout a fait honnête, je n’ai pas bien vu l’intérêt de ce livre, bien que j’aie apprécié le style de l’auteur.
Dites, vous avez lu d’autres livres de Jonathan Coe ? ça vaut le coup ? votre avis que je tente ? nouveau le coup ?
Prochaine lecture : Une pièce montée, de Blandine Le Callet. On m’a beaucoup parlé de ce livre, et je dois dire que je ne suis pas déçue pour le moment !
Moi aussi j’ai bcp aim?© "La femme de Hasard", tr?®s touchant car l’ennui de Maria nous est rendu palpable, tr?®s bien ?©crit vraiment, du coup je me suis achet?© 2 autres romans de J.Coe dont "la Maison du Sommeil" … Mais c’est peut-?™tre mon c?¥t?© professeur de fran?ßais 😉
Je termine le livre ; j’apprécie l’humour de l’auteur .En fait un livre sur l’ennui chez beaucoup d’êtres et la difficulté de choisir .
Je découvre aussi Deedee qui me paraît ne pas être
accablée par l’ennui…
Ah ça…. c’est le moins que l’on puisse dire !