Le dernier des Mohekann

(oui, je me suis dit que ces jolies couleurs automnales étaient parfaites pour accueillir cette nouvelle semaine tellement estivale. lol).

Depuis longtemps, je suis à la recherche non pas de la vérité, mais simplement d’une pochette.

Le cahier des charges est assez simple, puisque je la veux sobre et élégante, originale sans être trop pointue-perchée, pas trop grande, mais pas trop petite non plus. Il faudrait qu’elle aille avec ma veste bleue à étoile, ma veste à fleurs, n’importe qu’elle petite robe noire. Et mon jean de bonnasse, aussi. Je voudrais pouvoir la glisser dans ma valise pour les virées à la plage ou en soirée, voire, l’utiliser en sac d’appoint les rares fois où je me sens de sortir de chez moi sans parapluie-appareil photo-agenda-trousse comprenant mille choses totalement inutiles et de ce fait indispensables-lunettes de soleil. Et j’en passe.

Rien de bien compliqué, en somme !

Et puis, au gré de mes pérégrinations sur la toile, bim ! Je tombe nez-à-nez avec ces amours de pochettes répondant au doux nom de Mohekann.

Réalisées à la main dans des cuirs vintages d’Argentine, des suèdes turques et des peaux d’agneau italiennes, la collection comprend une dizaines de pièces. Toutes sont le fruit d’un duo ma foi fort inspiré : une créatrice française imprégnée des parfums d’Asie dessine et développe la marque, quand une jeune chinoise aux allures parisiennes suit et contrôle la production des collections.

Que vous dire d’autre, si ce n’est gniiii ? (non mais quand même, gniiiii, non ?!).

Toute la collection est à tomber, même si je confesse un gros faible pour la Navajo. Ex aequo avec la Wanduta. Quant au site… allez-le voir, il est sublime !