Déçue, déçue, déçue

Aujourd’hui, je voulais vous parler d’un nouvel institut de manucure qui tabasse sa mémé, mais j’ai malencontreusement (et temporairement, je l’espère !) perdu la carte mémoire qui contient les photos dudit institut. J’aurais pu écrire que je perds la mémoire tout court, notez, vu que j’égare absolument tout en ce moment. Tenez, pas plus tard que mardi, j’ai perdu l’étui qui renferme mon passe Navigo, mon badge d’entreprise et autres utiliries utiles, pour ne pas dire fondamentales. Et où donc ai-je perdu mon doux, mon précieux étui ? Dans la rue ? Dans le métro ? Au boulot ? Que nenni. L’étui a tout bonnement disparu dans mon salon. Lequel, s’il est plus grand que l’ancien, n’excède pas 30 m2, cuisine incluse. Énervant… le mot est faible.

Bref, comme disait Pépin. En blogueuse aguerrie qui se respecte, j’avais fort heureusement prévu un back up : le eyeliner de Dior, Diorliner.

Figurez-vous donc que ma beauty lubie du moment consiste à tracer un vrai beau trait de liner, bien épais, façon baby doll fan des 60’s.

Comme ça, on pourrait croire que la tâche est aisée. Las !

J’ai d’abord commencé par tenter le coup avec le crayon que j’utilise depuis des années, un crayon Chanel. Lequel, s’il fait des merveilles pour crééer un joli halo autour des yeux n’est pas du tout adapté pour le gros trait épais et très net que je cherche à obtenir.

Direction Sephora, à la recherche d’un feutre, marron. Je ne l’aurais pas cru, mais cette quête s’apparente à celle du Graal ! Ah ça, le crayon et le mini pinceau sont légion, pour sûr. Mais quand il s’agit de passer au feutre, il n’y a plus personne !

Certes, quelques marques en proposent (notamment Bourjois, de ce que j’ai pu voir). Mais aucune n’offre la possibilité aux greluches dans mon genre d’adopter un trait de liner épais, net et brun plutôt que noir.

De guerre lasse, je suis repartie avec un liner de chez Dior, emberlificotée que j’ai été par le vendeur qui m’assurait alors que tss tss, tout était question de pratique et ce serait exactement tout pareil. 15 jours et 30€ et quelques plus tard, je suis en mesure de vous affirmer que non, rien à voir, on n’obtient certainement PAS un joli trait bien épais avec ce liner là. Ou alors j’ai définitivement deux mains gauches, ce qui, à vrai dire, n’est pas à exclure entièrement.

Je repars donc en quête d’un liner qui me permettrait d’obtenir, enfin, ce trait bien épais. Si vous avez des pistes, c’est le moment !

Post scriptum : ah, il y a quand même deux trois choses que j’ai apprises au corner de Dior. Un liner (feutre, crayon, pinceau) se pose au ras des cils de la paupière mobile du centre de l’oeil vers l’extérieur, et non l’inverse. Dans la même veine, on peut poser le mascara AVANT le liner : cela permet de créer un appui plus stable au ras des cils pour l’application  du liner.

Post post scriptum : rien à voir, mais pour les parisiennes, la vente Shopping & Bubbles Spéciale Saint Valentin de Marie à lieu demain !